English version after the French one.
Un peu, beaucoup, de neige est tombée la nuit dernière. Donc, même si nous rêvons déjà au printemps, l’hiver lui semble s’accrocher! Nous avons connu des mois de décembre, janvier et février très doux, avec peu de cet or blanc…mars fut long et mélangé et voilà qu’avril se pointe timidement!
Vous arrive-t-il de vous croire emprisonner par le temps qui passe ou par l’annonce d’un printemps qui peut-être n’osera pas détrôner l’hiver aussi tôt que vous l’aviez souhaité? Cette sensation de vivre un peu embourbé vous mine-t-elle, même si elle n’est que physique? Car la neige est un élément physique, pas vrai?…mais combien cet élément ne peut-il pas affecter aussi notre moral! Tout comme les maints facteurs extérieurs finissent par trop souvent saper nos élans, nos envies de croire et de voler sous un ciel que d’autres ont trop souvent salis de leurs indifférences et de leurs prétentions orgueilleuses!
Alors comment, où trouver et nous sentir libres dans un monde qui semble ne même plus être accueillant?!? La liberté n’est-elle qu’un leurre ou qu’une illusion? Peut-elle exister vraiment un jour pour chacun de nous? Ah bon…et dans quel paradis perdu se cache-t-elle? Demeurerons-nous pour toujours exclus de cet éden parce que nous n’imaginons même pas être capable de lever le voile sur notre passé, sur ce que d’autres ont déjà écrit pour nous…ou du moins tenté de le faire?
Bill Wilson disait: »On ne doit jamais être aveuglé par cette philosophie futile qui prétend qu’on n’est que les infortunées victimes de notre héritage, de notre expérience et de notre environnement – que ce sont là les seules forces qui prennent des décisions pour nous. Là n’est pas la voie vers la liberté. On doit CROIRE qu’on peut vraiment choisir. ».
Donc la liberté, ce serait tout d’abord une question de choix? Ainsi, nous pourrions choisir de nous laisser, encore et encore, emporter par un courant qui ne nous donne pas le temps de nous retrouver en nous-même? Nous pourrions également choisir de ne plus croire, et supporter, ces gens du mensonge qui nous gardent malheureux parce que nous leur accordons trop de pouvoir et d’importance dans nos vies?
En fait, choisir de rester ou de partir malgré la neige et le froid – et lorsque je parle ici de partir, c’est surtout à l’intérieur de nous et pas seulement physiquement – décidera de comment nous nous sentirons, envers ce monde extérieur à nous et celui qui nous est intrinsèque.
Notre réalité physique, nous ne pouvons pas toujours la changer…ne faut-il pas attendre que la nature fasse son œuvre et nous délivre de l’hiver? Mais qu’en serait-il de l’hiver qui dort en nous? Nous pouvons choisir de faire fondre la neige qui nous embourbe.
S’offrir la liberté, ce n’est que cela au fond…CHOISIR de croire et de faire. CHOISIR d’être vivants à l’intérieur de nous, dans nos corps mental, émotionnel et spirituel, et non seulement dans nos corps physiques.
D.A. Lavoie
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Delvi,
J’aime beaucoup ton texte et je crois que nous devons décider, décider de ne pas subir !
Bises.
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Merci Yveline…décider de ne pas subir, c’est s’offrir la liberté! Les gens ne peuvent nous imposer leurs »lois », mais jamais nous les entrer de force dans le coeur et la tête je crois! Très bonne semaine à toi, gros bisous, Delvi.
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Ne sommes nous pas avant tout prisonniers de nous-mêmes ? Prisonniers de nos actes et de nos pensées. La conscience d’être libre peut être illusoire.
Bonne journée Delvi , bisous mon amie
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Bonjour Lucia…tu as bien raison: la plus grande prison de l’humain est celle dans laquelle il s’enferme lui-même. Choisir de décider chaque instant de notre vie et de quelle direction prendre est une prise de conscience qui demande l’honnêteté avec soi-même…après nous sommes libres de vicvre vec nos choix, donc de nous offrir la liberté intérieure d’abord…car elle est la seule qui existe pas vrai? Merci de ton passsage, très bon week-end et gros bisous. Delvi.
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Notre liberté est en nous-mêmes, il ne faut pas se laisser influencer par le monde extérieur sinon nous devenons vulnérables et plus fragiles. Les éléments de la nature influence à plus ou moins grand degré chacune et chacun de nous, mais il ne faut pas leur donner trop de place et concentrer nos actions ailleurs afin de retrouver le moral. Ce n’est pas toujours facile, mais c’est seulement en nous que nous pouvons trouver cette force. Merci Delvi, très bon texte! Bon jeudi mon amie, gros bisous, Gigi 🙂
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S’offrir la liberté n’est possible que si nous sommes totalement bien avec qui nous sommes, ce qu’on pense,dit et fait. Nous avons toujours le choix je crois…et ces choix nous libèrent ou nous emprisonnent. Merci ma belle, gros bisous, Delvi.
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Oui Delvi, je suis tout à fait d’accord, gros bisous mon amie, à bientôt 🙂
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Merci de ton soutien ma belle, bonne fin de journée et gros bisous. Delvi.
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Surtout, ne choissons pas de nous laisser enfermer par ceux qui ont l’habileté de nous retenir dans l’image qu’ils se font de nous … hélas ! C’est là le bobo, ne pas leur laisser l’espace de le faire … hein ! Bonne fin d’après-midi Delvi et douce soirée !
Gros bisous.
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Bonsoir Colette, je suis tout à fait d’accord avec toi! Moins on laisse de place aux vautours, moins ils peuvent nous déchiqueter! Alors afin de ne pas sombrer à cause de leurs médisances ou contrôle maladif, nous devons fuir…et s’offrir la liberté d’être qui nous sommes…et si ils aiment alors tsnt pis pour wux! Merci de tavisite, j’apprécie…bon jeudi et gros bisous, Delvi.
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